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Dans la vie, on apprend toujours, on voit toujours. J’ai eu la chance d’apprendre et de voir ce que j’ai vu.
« Je proclame, au nom de la nation, la naissance de la République du Congo », avait déclaré Joseph Kasavubu, premier président de la République démocratique du Congo, le 30 juin 1960. C’était le début de l’existence de notre pays en tant qu’Etat indépendant !
« Cette indépendance du Congo, si elle est proclamée aujourd’hui dans l’entente avec la Belgique, pays ami avec qui nous traitons d’égal à égal, nul Congolais digne de ce nom ne pourra jamais oublier cependant que c’est par la lutte qu’elle a été conquise. Une lutte de tous les jours, une lutte ardente et idéaliste, une lutte dans laquelle nous n’avons ménagé ni nos forces, ni nos privations, ni nos souffrances, ni notre sang ».
« Indépendance cha cha », titre de la chanson composée à l’occasion de l’accession à l’indépendance du Congo. Interprétée par le grand Kabasele. Cette chanson a été reprise plusieurs fois par d’autres pays africains pour célébrer leur indépendance. Au Congo, elle passait en direct très souvent sur la chaine nationale, Radio Congo belge qui avait le plus puissant émetteur d’Afrique à l’époque.
« Lentement mais sûrement, la réalité est en train de rattraper le rêve. La nation congolaise se porte mieux qu’il y a un an, beaucoup mieux qu’il y en a quinze, et son état s’améliore chaque jour davantage ». Discours de Joseph Kabila sur l’état de la nation le 8 décembre 2010. Ces deux phrases ont été surmédiatisées au pays par les médias pro-gouvernementaux. Avant chaque journal d’information à la radio ou à la télé, elles étaient lancées avant le générique. Beaucoup de Congolais les ont également utilisées comme sonneries dans leurs téléphones. Dans cette phrase « beaucoup mieux qu’il y a quinze ans », Kabila voulait certainement dire qu’il avait fait mieux que Mobutu qui vers 1995 jusqu’à sa chute avait perdu le contrôle du navire qu’était le Zaïre.